Abbaye Notre-Dame
de Sénanque
En 1818, des moniales cisterciennes trappistines refont vivre les ruines d’un couvent d’Ermites de Saint Augustin.
La vie monastique se poursuit à l'abbaye à travers prière et travail, dans la simplicité et la joie.
Le pèlerinage de Notre Dame des Gardes, né en 1605, est toujours vivant et représente un temps fort dans la vie de la communauté.
L’économie du monastère repose principalement sur la fabrication de confitures traditionnelles.
Sept soeurs s'occupent de l'atelier qui produit près de 70 000 pots de confitures par an !
Malgré ce volume impressionnant, la qualité reste le maître mot pour les soeurs : des fruits sélectionnés, du sucre et une cuisson à l'ancienne, lente, au chaudron pour des produits artisanaux savoureux au bon goût d'antan.
Actuellement, la communauté compte 27 moniales.
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La vie monastique se poursuit à l'abbaye à travers prière et travail, dans la simplicité et la joie.
Le pèlerinage de Notre Dame des Gardes, né en 1605, est toujours vivant et représente un temps fort dans la vie de la communauté.
L’économie du monastère repose principalement sur la fabrication de confitures traditionnelles.
Sept soeurs s'occupent de l'atelier qui produit près de 70 000 pots de confitures par an !
Malgré ce volume impressionnant, la qualité reste le maître mot pour les soeurs : des fruits sélectionnés, du sucre et une cuisson à l'ancienne, lente, au chaudron pour des produits artisanaux savoureux au bon goût d'antan.
Actuellement, la communauté compte 27 moniales.
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En 1818, des moniales cisterciennes trappistines refont vivre les ruines d’un couvent d’Ermites de Saint Augustin.
La vie monastique se poursuit à l'abbaye à travers prière et travail, dans la simplicité et la joie.
Le pèlerinage de Notre Dame des Gardes, né en 1605, est toujours vivant et représente un temps fort dans la vie de la communauté.
L’économie du monastère repose principalement sur la fabrication de confitures traditionnelles.
Sept soeurs s'occupent de l'atelier qui produit près de 70 000 pots de confitures par an !
Malgré ce volume impressionnant, la qualité reste le maître mot pour les soeurs : des fruits sélectionnés, du sucre et une cuisson à l'ancienne, lente, au chaudron pour des produits artisanaux savoureux au bon goût d'antan.
Actuellement, la communauté compte 27 moniales.